L' Harmattan
Un fait de guerre, le bombardement de Dresde de 1945 et un lion échappé du cirque de la ville sont le point de départ de ce recueil. Après vient Spengler avec son Déclin de l’Occident et ses théories ambiguës sur la race pure, le destin historique et le leader unique. Et puis, encore après, vient Faust. Le symbole des objectifs supérieurs qui, pour être atteints, l’homme doit dépasser le dilemme de l’éthique et le doute entre le bien et le mal.
C’est autour de ces axes que Vers où se meut. C’est une œuvre qui ne prétend rien de plus que l’évidence : une guerre n’a ni vainqueurs ni vaincus. Elle n’a que des victimes. Elle n’a que des morts, des sans-abri, des réfugiés, des hommes misérables.
Le bombardement de Dresde est un moyen pour affirmer que les morts de l’Allemagne sont des morts du monde entier. Pour affirmer encore que l’ignorance volontaire et le consentement par le silence ne sont qu’une plus grande culpabilité.
C’est autour de ces axes que Vers où se meut. C’est une œuvre qui ne prétend rien de plus que l’évidence : une guerre n’a ni vainqueurs ni vaincus. Elle n’a que des victimes. Elle n’a que des morts, des sans-abri, des réfugiés, des hommes misérables.
Le bombardement de Dresde est un moyen pour affirmer que les morts de l’Allemagne sont des morts du monde entier. Pour affirmer encore que l’ignorance volontaire et le consentement par le silence ne sont qu’une plus grande culpabilité.